PARADOXES

L'explication des deux paradoxes tient en fait tout bêtement dans l'inexactitude des figures. Cette inexactitude est suffisamment légère pour ne pas être trop remarquée, surtout si les traits sont suffisamment épais. En dessinant soigneusement les figures, on s'apercevra que les intersections entre une ligne oblique et une ligne horizontale ou verticale ne tombent pas exactement sur le quadrillage.

Par exemple, dans le premier paradoxe, cette inexactitude crée un parrallèlépipède très aplati le long de la diagonale, dont la surface est 1, correspondant exactement à celle en trop par rapport au carré.